Résumé :
|
Michel Azama, Koffi Kwahulé, Philippe Minyana, trois écrivains familiers de Théâtrales : lorsque le théâtre naît de la parole. Condamnée à seize années de détention, quelques heures avant sa sortie de prison, elle raconte : les travaux, les punitions, les amitiés, la solitude et surtout l'angoisse du dehors, de cette " normalité " qui ne l'est plus. C'est Le Sas... Un long cri de douleur. " Une femme/Le crâne rasé peut-être/Nue peut-être/Un revolver..." Elle nous raconte Jaz, belle comme un lotus, sa vie dans une chambre de bonne, au sixième étage d'un immeuble où les vécés débordent. Une parole elliptique, musicale, crue, à la limite de l'imaginaire. Anne-Laure nous parle d'André. Dans cette ferme de granit en Haute-Loire, il y a le souvenir de ce dos qui a bouleversé sa vie, un beau matin, l'intimité de son histoire d'amour avec Dédé, ses joies, ses déceptions, ses inquiétudes. Juste une parole, celle de la vie qui passe
|