Résumé :
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On a réuni dans un seul volume " L'homme faillible " et " La symbolique du Mal " qui ensemble formaient le second tome, publié en 1960, de la " Philosophie de la volonté ", sous le titre commun : Finitude et culpabilité. Dans le premier ouvrage, on soutient la thèse selon laquelle la fragilité ontologique issue de la disproportion de soi à soi-même, illustrée tour à tour dans l'ordre du Penser, de l'Agir, puis du Sentir, n'est pas en soi mauvaise. La finitude n'est pas le mal. Dans le second volume, on s'emploie à montrer que la condition mauvaise de la volonté est d'ordre contingent et historique par rapport à la constitution essentielle de la volonté et relève d'une herméneutique des symboles et des mythes du mal qui structurent la mémoire de l'homme occidental, juif et grec.
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